Histoire

Arles sous les projecteurs

Publié par Romain Vauzelle le


La ville a accueilli pas moins de trois tournages entre le 9 et le 14 novembre, preuve du pouvoir d’attraction grandissant de la Petite Rome des Gaules.

Habitué du Festival « Les Suds à Arles », le jeune réalisateur Giulio Callegari n’imaginait pas un autre décor que celui d’Arles pour son court-métrage intitulé Erratum. « Venir ici était une évidence pour tourner cette comédie sur l’archéologie, car les plus beaux monuments et les plus beaux vestiges de France sont à Arles. Pour ne rien gâcher, on a bénéficié d’une météo extraordinaire. Cette lumière, ces vieilles pierres et ces rues vides à cause du confinement : tout cela a quelque chose de fascinant. Je remercie la Ville de nous avoir ouvert ses portes, ça dépasse toutes mes espérances » s’émerveille Giulio Callegari. Le pitch de ce film de 20 minutes destiné à Canal+ ? C’est l’histoire d’une archéologue qui découvre sur une fresque de l’Antiquité une insulte totalement anachronique. Le tournage est passé par la nécropole des Alyscamps, les marches des arènes, l’amphithéâtre de l’antenne universitaire et enfin au Musé départemental Arles antique.